Le low-code, un levier (encore sous-exploité) pour accélérer la transformation numérique en santé
Notre consultant Jean Talbourdet a participé à l’événement Unchain my IT — une matinée riche en échanges autour des enjeux low-code, no-code et IA, où un constat s’impose :
👉 Le low-code n’est plus une tendance, c’est un véritable vecteur d’efficacité et de rapprochement entre les métiers et la technique.
🔹 Qu’est-ce que le low-code ?
C’est une approche qui permet de concevoir des applications plus rapidement, avec moins de code, tout en gardant la maîtrise technique.
Ce n’est pas un gadget ni un “plan B” pour petits projets. De grands acteurs comme La Poste, Société Générale ou BlackRock l’utilisent déjà pour accélérer leurs développements sans sacrifier la sécurité ni la qualité.
🔹 Low-code et IA : un duo complémentaire
Le low-code industrialise et fiabilise les processus, pendant que l’IA analyse et corrige intelligemment les flux.
Ensemble, ils réconcilient des mondes trop souvent opposés : agilité et sécurité, métier et technique.
🔹 L’exemple inspirant de GIPHAR
En basculant sur des SI low-code, GIPHAR a pu reprendre le contrôle de son système d’information dès 2024 et livrer rapidement des projets à forte valeur ajoutée. Résultat :
✅ montée en compétence accélérée
✅ équipes techniques recentrées sur les tâches complexes
✅ lien renforcé avec les métiers
✅ résultats tangibles visibles rapidement
🔹 Et dans la santé ?
C’est là que le bât blesse encore. Le secteur souffre souvent d’un schisme entre les métiers et les DSI : des besoins concrets d’un côté, des contraintes techniques, des ressources disponibles et règlementaires de l’autre.
Le low-code pourrait pourtant être le chainon manquant : un terrain d’entente pour co-construire des applicatifs de spécialité, rapprocher les acteurs, et surtout livrer plus vite ce qui compte vraiment pour les professionnels et les patients.
Chez UpSanté, nous croyons que le futur du numérique en santé se joue dans cette harmonie retrouvée entre vision métier et exécution technique.
Et si on passait de la théorie à l’action ?
Merci à APIZR pour cette matinée inspirante !
